Transports.

Nous quittons donc le terminal international et passons une douane vraiment pas pénible. Contraste après la fouille systématique pour rentrer en Nouvelle Zélande. Plusieurs choix s'offrent au touriste voulant lors d'une escale aller visiter Kuala Lumpur : réserver une journée organisée tout compris, ou par ses propres moyens, prendre un bus, un taxi ou le train.

Personnellement, j'avais repéré un peu avant, et avons opté pour une visite libre.

En quittant le terminal nous apercevons le circuit de formule 1 de Sepang a quelques centaines de mètres des pistes de l'aéroport.

J’achète 2 tickets de train vers la gare centrale de Kuala Lumpur (prendre le KLIA Express) puis retire du liquide pour les dépenses de la journée. Ma carte bleue refuse de me délivrer du liquide, décidément, les CB nous aurons fait ch… jusqu’au bout durant ce voyage. Heureusement j’ai sur moi une seconde carte bleue qui me permet de retirer 200 Ringit (environ 50 E).

Et c’est parti. Nous prenons un train moderne et climatisé direction la ville. Nous traversons des zones qui nous semblent très humides ou alternent zones de marais et champs de palmiers (culture pour l’huile de palme grrrrr).